21 septembre 2007
La misère du monde ou « un nouveau racisme »
Doit-on se contenter d’aimer ou de respecter ceux qui nous sont proches par leur façon de vivre et leur catégorie sociale ? Rejeter la différence créée par la misère qu’on ne veut pas voir confine à une sorte de racisme indépendant des notions d'ethnies. Les différences ne résident plus dans l’origine, la religion ou la couleur de la peau ; mais dans le niveau de richesse et de pauvreté.
Au XXIe. siècle, des humains vivent dans des misères sordides alors que les écrans de télévision du monde entier affichent le luxe et l’indifférence de catégories qui n’ont rien fait pour mériter ces privilèges. D’un côté le bonheur apparent et de l’autre la pauvreté, la faim et la maladie.
Aller sur place pour apporter une aide n’est pas facile est apparaît comme une goutte d’au dans un océan de souffrances. Mère Thérésa aimait son prochain ; et bien d’autres anonymes ont agi avec autant de bonté et de désintéressement.
Que font ceux qui vivent dans un certain confort ? Ils ont peur des pauvres… et ils se protègent même si parfois ils ont une part de responsabilité dans les malheurs des pauvres.
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19 septembre 2007
Chaque être a droit au respect des autres
Sur notre planète tous les êtres sont constitués de la même matière, qu’il s’agisse des humains, des animaux, des végétaux et même du règne minéral. Les plus récentes théories de la science considèrent que la vie est présente partout dans cette matière. Il est de bon ton d’affirmer que nous devons respecter la nature, ce qui est évident. Mais nous faisons tous partie de cette nature.
Alors quand il est question « d’aimer (ou de respecter) son prochain, de qui s’agit-il ?
La pitoyable actualité de ces dernières semaines me fait penser à Coluche qui pourrait dire aujourd’hui : « Certains sont plus notre prochain que d’autres. »
Pour éliminer cette pensée, nous devons entreprendre avec sincérité l’ascension de cet escalier dont la première petite marche a pour nom « tolérance ».
Quand on « accepte » que l’autre ait sa place dans notre univers, pour aller plus loin, il est utile de le connaître. C’est possible, directement ou indirectement ; les moyens de s’informer ne manquent pas pour celui qui le désire. Quand on le connaît avec ses particularités qui sont l’apanage de tous les individus et de tous les groupes humains, on s’efforcera de le comprendre pour parvenir à l’apprécier.Connaître et apprécier nous mèneront au-delà de la tolérance à un sentiment désintéressé qui est une forme d’aimer.
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17 septembre 2007
Vivre des valeurs… et les transmettre
Le devoir de transmettre son savoir et son expérience est une forme de solidarité. Ce que nous transmettons, nous ne le possédons que parce que d’autres nous l’ont communiqué.
Valeur de solidarité oui ; mais envers qui ?
Dans ma jeunesse j’avais appris qu’il faut « aimer son prochain ». C’est peut-être beaucoup demander ; mais à défaut d’utiliser ce noble sentiment « aimer », il faut au moins le respecter.
Ce « prochain » qui est-il à notre époque où la technique est capable de « rapprocher » des gens qui autrefois ne se seraient jamais rencontrés ?
Pour aimer, il est nécessaire de rencontrer, de connaître et d’apprécier, en acceptant les différences. Je ne pense pas qu’il faille tolérer ces différences, mais les accepter. Je redoute ce mot « tolérance » qui parfois voile une certaine hypocrisie. J’ai l’impression d’entendre « qu’on peut tolérer… à la rigueur… parce qu’il est difficile de faire autrement.
Je considère que cette tolérance qui peut donner bonne conscience à certains, est comme la première marche d’un escalier dont nous devons entreprendre l’ascension…
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06 septembre 2007
Le devoir de transmission
Les Editions Trajectoire ont publié les livres que j’ai écrits sur ces sciences dites parallèles : Magnétisme, Tarot, Boule de Cristal, Numérologie, Interprétation des rêves, etc. Mais si les livres constituent une excellente sensibilisation, je pense qu’il est intéressant de mettre en pratique leur enseignement. Le travail en groupes composés d’au maximum une quinzaine de participants m’a paru la meilleure méthode pour cette « mise en pratique » et c’est ainsi que j’ai créé des pédagogies spécifiques pour réaliser cette transmission directe. Les stages confirment ce qui est écrit et prouvent que c’est par un travail bien dirigé que chacun peut accéder à des possibilités qui sont souvent considérés comme des dons réservés à quelques personnes seulement.
J’anime ces stages avec mon épouse Kamina Brochka avec qui j’ai écrit plusieurs livres sur ces sujets.
Il me paraît évident que lorsque les circonstances ont permis à quelqu’un d’acquérir des connaissances pratiques qui peuvent être utiles aux autres, il a le devoir de transmettre son savoir et son expérience. Les cacher sous le prétexte de prétendus secrets est un peu comme accaparer ce qui appartient à tous.
Les prochains stages que j’animerai avec Kamina Brochka sont :
14.15.16 septembre « Tarots initiatiques et divinatoires »
28.29.30 septembre, 26.27.28 octobre, 7.8.9 décembre « Magnétisme et Sophromagnétisme »
5.6.7 octobre « Interprétation des Rêves »
11.12.13 janvier 2008 « Voyance, Boule de Cristal, Perceptions extrasensorielles »
Renseignements et inscriptions : « Université du Temps Présent » : http://perso.wanadoo.fr.utp/
9, rue Lapérouse – 34970 Lattes - Tél. 04.67.64.74.49 - e-mail : utp@wanadoo.fr
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