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23 avril 2010

Les risques de l’égrégore

Il est bien vrai que « l’homme ne maîtrise pas l’énergie qu’il a créée. » 

Je n’imaginais pas une telle évolution il y a un peu plus de vingt ans lorsque je commençais à parler du résultat de mes recherches. Je le fis à un groupe de gens qui m’étaient proches. Je ne me rendais pas compte que nous nous unissions dans la même pensée, dans le même idéal, pour poursuivre avec les mêmes façons d’agir, un même but que peut-être d’autres poursuivraient à leur tour. Modestement, mais sûrement, c’était la naissance d’un égrégore.

Aujourd’hui je prends conscience de mes responsabilités que les évènements m’ont révélées. Je ne culpabilise pas, mais je sais que tout peut basculer dans un sens ou dans un autre. Par tempérament, je suis disposé à agir avec fermeté pour prévenir les possibles et probables inconvénients de l’évolution du sophromagnétisme.

Mais les années se sont écoulées et je ne puis que mettre en place les dispositions qu’appliqueront, en les faisant évoluer, ceux qui vont prendre en charge ces réelles responsabilités.

Je souhaite que leur action soit menée dans une franche et compétente collaboration, loin des rivalités mesquines que l’on rencontre ici ou là, loin des problèmes d’ego et d’intérêts personnels, dans l’esprit  de ce que doit être le sophromagnétisme pour que son égrégore perdure sans être dévoyé.

L’égrégore du sophromagnétisme sera ce qu’en feront les sophromagnétiseurs d’aujourd’hui et de demain.

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  « Charly Samson au cours d’un stage de sophromagnétisme. »

16 avril 2010

Egrégore et Sophromagnétisme

A la lumière de certaines constatations, j’ai été amené à découvrir un lien entre l’égrégore et le sophromagnétisme.

Il a fallu que se manifestent des éléments que je n’avais pas prévus pour que je prenne conscience de mes responsabilités et que j’en vienne aujourd’hui à me poser quelques questions.

Tout d’abord, quelques « rapaces » ont tenté de récupérer le mot « sophromagnétisme ». C’est dès l’an 2000 que des sophromagnétiseurs qui venaient de créer leur association m’ont demandé de protéger le nom et ma méthode sophromagnétisme.

Ensuite il arriva que des gens qui avaient suivi mes cours les prennent pour base afin de faire n’importe quoi sous l’appellation de sophromagnétiseur. Encore une fois, ce sont les vrais sophromagnétiseurs, heureusement la majorité, qui ont demandé qu’un examen permette de déterminer qui pouvait pratiquer cette méthode. Ils estiment qu’une évaluation des compétences doit ensuite intervenir périodiquement. Ils savent comme moi que des personnes qui affichent ce titre risquent de se laisser entraîner vers des déviations inadmissibles.

Ainsi très rapidement l’égrégore du sophromagnétisme s’est mis en place sans faire de bruit, discrètement, mais dangereusement. Il confirme que les meilleures intentions peuvent tomber dans les mains de personnes prêtes à en trahir les fondements par incompétence, vanité et autres intentions  où pouvoir et intérêts sont au premier plan.

26 mars 2010

L’ambivalence des égrégores

La puissance de l’égrégore peut se manifester dans le bon comme dans le mauvais.  Nous le constatons avec les religions.

La force de l’égrégore est utilisée dans le temps selon l’évolution des mentalités de ceux qui succèdent aux fondateurs.

Un proverbe affirme : « L’enfer est pavé de bonnes intentions. »  Les causes les plus nobles peuvent engendrer des égrégores porteurs de tragédies. Il en est ainsi de toutes les entreprise humaines. Par exemple, les trois mots : liberté, égalité, fraternité, ont été prétexte à la Terreur et le partage fraternel dans le communisme a permis sa récupération par de terribles dictatures.

Au XXe siècle, le nazisme, mis en place par un petit groupe, a ensanglanté quelques années plus tard une grande partie de la planète. Cet égrégore semble être entretenu encore aujourd’hui par des fanatiques qui le maintiennent en vie plus ou moins secrètement pour qu’il puisse renaître de ses cendres.

D’autres égrégores ont évolué positivement. Citons le mouvement « Emmaüs » de l’abbé Pierre et les « Restaurants du Cœur » de Coluche. … Et il y en a heureusement beaucoup d’autres.

Dans la catégorie d’égrégores qui paraissent stupides, mais n’en sont pas moins dangereux, nous trouvons les passions hors normes des « supporters » dans le monde des sports.

En fait, toute association, qu’elle soit philosophique, humaniste, politique, économique, culturelle ou autre, lance vers le futur l’égrégore de son idéal.

Certains égrégores sont limités dans le temps, faute d’être maintenus en activité.

D’autres vivront sans qu’il soit possible de déterminer leurs aboutissements…

24 février 2010

Le véritable Nostradamus

En fouillant dans la vie de Nostradamus j’ai rencontré un savant, un prophète et un « homme de terrain ». J’ai confronté ses méthodes de travail avec les explications que donne la science du XXIe. siècle pour reconnaître la réalité des prédictions.

A la recherche du « présent éternel », les savants de notre époque découvrent que l’avenir est tracé et qu’il doit être possible de le rencontrer. Einstein lui-même a écrit : « L’avenir est déjà là et nous le rencontrons sur notre passage. 

En travaillant à participer à la réhabilitation de Nostradamus, dont il est fréquent de se moquer sans le connaître, j’ai eu la possibilité de dénoncer les idées reçues qui polluent l’étude des phénomènes de voyance, de prédiction et de prophétie encore aujourd’hui.

Nostradamus a vécu à une époque où les dangers étaient permanents autour de lui : intolérance, luttes pour le pouvoir camouflées en guerres de religions, instabilité sociale, religieuse et politique, épidémies de peste et les bûchers de l’inquisition. Confrontées à ces fléaux, les populations vivaient dans la peur. Il y a 500 ans, cette situation a influencé son œuvre malgré les appuis importants dont il a bénéficié.

Ses nombreux écrits révèlent la prudente nécessité de voiler ses messages par un style très personnel, un langage savant, souvent percutant, précis et non dénué d’humour. Les parcourir, c’est être envahi par le personnage autant que par ses textes. Mais encore à notre époque on ne retient de lui que l’opacité de ses prédictions, alors que son étonnante érudition , ainsi que son talent d’écrivain et de poète, devraient le placer parmi les plus grands noms de la littérature de son temps.