Le Blog de Charly SAMSON

Mais « officiellement » on ne sait pas de quoi il s’agit, qui les pilote, d’où ils viennent et pourquoi… Longtemps les plus hautes autorités de pays concernés ont nié le phénomène en se moquant des témoignages. Actuellement ces mêmes autorités ont « verrouillé » la diffusion des informations qui les concernent. Que nous cache-t-on ?  Que savent ceux qui nous maintiennent dans l’ignorance ?  Mon dossier sur ces comportements est assez épais et jamais fermé. Si vous le souhaitez, nous y reviendrons…

C’est en nous intéressant au lointain passé de l’Égypte que nous avons été amenés à évoquer les « objets volants non identifiés ». (voir les textes 16 au 23 janvier)  C’est encore indirectement que nous retrouverons l’Égypte avec l’étrange et authentique aventure d’un homme qui exerçait le dur métier de mineur et passait des heures dans un boyau étroit en frappant durement le minerai avec son pic.

Nous n’en finirions  pas de citer tous les événements inexplicables qui se succèdent autour de nous à propos des O.V.NI. J’ai conservé des observations personnelles, ainsi que des témoignages que j’ai moi-même recueillis. Pour terminer, provisoirement, cette série de faits étranges, voici un témoignage qui m’a particulièrement surpris. Je faisais une conférence chez des aviateurs, à Marguerites, dans le Gard. Au cours du débat qui suivit mon exposé, les questions furent nombreuses et les observations recueillies par ces professionnels ne le furent pas moins. Le débat se termina très tard et, selon la coutume, les organisateurs m’invitèrent à prendre une consommation avec eux. Ce fut l’occasion de longues conversations qui se poursuivirent assez tard dans la nuit, car ces petits groupes favorisent les confidences de ceux qui n’ont pas souhaité s’exprimer en public.

Un homme d’une quarantaine d’années, pressé par ses camarades accepta de me conter ainsi la curieuse aventure qu’il avait vécue. « Par une belle et claire nuit, je rentrais de Perpignan en direction de Marguerites. J’étais en contact permanent avec la tour de contrôle et nous conversions de tout et de rien. Le clair de lune éclairait mon poste de pilotage à tel point que j’en fis plusieurs fois la remarque. A mon atterrissage mes amis m’observaient d’un air moquer… »

Cet aviateur habitué aux vols de nuit a poursuivi son récit : « Ils m’ont interrogé sur ce clair de lune dont je leur avais parlé. Très sincèrement je leur ai déclaré qu’il était exceptionnellement lumineux et qu’on aurait pu lire le journal dans ma carlingue. Ils ont bien vu que je ne plaisantais pas et m’ont fait remarquer que cette nuit il n’y avait pas de clair de lune et que cet astre n’avait pas fait son apparition dans le ciel... Je n’ai jamais su quelle était cette lumière qui m’avait suivi de Perpignan à Marguerites… »

J’ai rapproché cette observation de celle qu’avait vécue mon ami Roger Nicot. Roulant en voiture de Saint Hippolyte du Fort à Montpellier, il a remarqué sur sa droite un disque lumineux qu’il a cru être la lune. Mais quelques instants plus tard ce disque est apparu sur sa gauche, puis à nouveau sur sa droite, alors qu’il roulait en droite ligne. Il a alors remarqué que sa brillance était métallique et qu’il se déplaçait à la même vitesse que la voiture… Roger s’intéressait à l’ufologie et théoriquement il aurait du s’arrêter pour observer. Dans la réalité c’est parfois différent et sa réaction a été d’accélérer pour échapper à cet étrange compagnon de route.

Atterrissage à Saint Baudile.- Dans la soirée du 6 décembre 1973, deux jeunes garçons partent du village de Fabrègues empruntent la petite route qui à travers la garrigue mène à la chapelle de Saint Baudile. Arrivé au petit plateau qui précède cette chapelle ils ont la surprise de voir « quelque chose » posé sur le sol. Pris de panique ils reviennent au village, racontent leur observation et repartent avec deux autres copains. L’engin est toujours là avec une ouverture sur un côté et une sorte d’échelle descendant jusqu’au sol. Encore pris de panique ils redescendent à Fabrègues et le père de l’un d’eux prend sa voiture avec les gens qui se trouvent là. Arrivés près de la chapelle, ils ne voient qu’une lueur qui s’éloigne à grande vitesse dans le ciel.

Sur l’emplacement désigné, des traces de 30cm² ont été relevées, correspondant aux « pieds » sur lequel l’engin était posé. Là où une « échelle » semblait être appuyée, deux petits trous marquaient le sol un peu mou. De la terre a été prélevée à l’endroit précis de l’atterrissage et à quelques mètres de là.  Des lentilles semées dans la terre de l’atterrissage n’ont pas germé alors que d’autres ont germé dans la terre prélevée à quelques mètres. L’analyse de la terre du lieu précis de l’atterrissage a permis de constater qu’elle avait été stérilisée.