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24 février 2010

Le véritable Nostradamus

En fouillant dans la vie de Nostradamus j’ai rencontré un savant, un prophète et un « homme de terrain ». J’ai confronté ses méthodes de travail avec les explications que donne la science du XXIe. siècle pour reconnaître la réalité des prédictions.

A la recherche du « présent éternel », les savants de notre époque découvrent que l’avenir est tracé et qu’il doit être possible de le rencontrer. Einstein lui-même a écrit : « L’avenir est déjà là et nous le rencontrons sur notre passage. 

En travaillant à participer à la réhabilitation de Nostradamus, dont il est fréquent de se moquer sans le connaître, j’ai eu la possibilité de dénoncer les idées reçues qui polluent l’étude des phénomènes de voyance, de prédiction et de prophétie encore aujourd’hui.

Nostradamus a vécu à une époque où les dangers étaient permanents autour de lui : intolérance, luttes pour le pouvoir camouflées en guerres de religions, instabilité sociale, religieuse et politique, épidémies de peste et les bûchers de l’inquisition. Confrontées à ces fléaux, les populations vivaient dans la peur. Il y a 500 ans, cette situation a influencé son œuvre malgré les appuis importants dont il a bénéficié.

Ses nombreux écrits révèlent la prudente nécessité de voiler ses messages par un style très personnel, un langage savant, souvent percutant, précis et non dénué d’humour. Les parcourir, c’est être envahi par le personnage autant que par ses textes. Mais encore à notre époque on ne retient de lui que l’opacité de ses prédictions, alors que son étonnante érudition , ainsi que son talent d’écrivain et de poète, devraient le placer parmi les plus grands noms de la littérature de son temps.

19 février 2010

Mon prochain livre

Nostradamus est connu à travers des légendes et des idées reçues, comme s’il s’agissait d’un mythe quelque peu irréel.

Vouloir traduire ses écrits et les interpréter c’est un peu comme vouloir s’exprimer dans une langue que l’on ne connaît pas. C’est ce personnage que nos contemporains connaissent mal ; parce que ses propres contemporains ont tout mis en œuvre pour le déprécier. Sa personnalité autant que son œuvre dérangeait les puissants de son époque.

J’ai recherché la véritable personnalité de cet homme qui a vécu comme nous une vie de chair et de sang. Je me suis efforcé de suivre ses traces dans les régions où il a vécu. Mon intérêt pour les arts divinatoires m’a poussé à étudier sa façon de travailler, d’utiliser les phénomènes de voyance et d’exprimer des prédictions sans mettre en danger son œuvre et sa vie.

Ma recherche n’a été ni rapide, ni improvisée.
Petit à petit m’est apparu l’homme de science,
le médecin et le grand écrivain du XVIe. siècle,
LE VERITABLE NOSTRADAMUS,
l’homme qui a vu le futur.

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Vous trouverez ce livre en librairie dès la fin du mois de février 2010. Il est publié par les éditions Trajectoire.

08 février 2010

Qui vivra verra …

Les commentaires lus et entendus à propos de l’avenir de la banquise m’ont inspiré des réflexions qui ne sont pas réjouissantes. A force de nous faire peur, cette peur finit par s’installer… peut-être pas pour les raisons affichées qui tendent à nous culpabiliser… pour nous faire payer les dégâts.

Chaque début d’année fait fleurir de multiples prédictions qui se croisent, se complètent et se contredisent. Parmi celles-ci, des gens sérieux – et j’en connais beaucoup – parviennent à soulever le voile qui cache l’avenir et à annoncer des évènements pour nous préparer à mieux les vivre. Il est facile de vérifier plus tard la qualité de leurs prestations.

Mais quand des apprentis prophètes ne parviennent pas à déterminer quels seront les évènements que nous aurons à affronter, ils font appel à ceux qu’ils considèrent comme des valeurs sûres. Alors ils invoquent des textes bibliques, des calendriers antiques et notre grand Nostradamus. Il est vrai qu’on ne prête qu’aux riches… Ainsi la fin du monde a été annoncée plusieurs fois et à des dates différentes en interprétant à tort des textes qu’il fallait comprendre…

28 janvier 2010

Sacrée banquise

Mais vous fondez belle banquise,

Fondez comme neige au soleil ! …

Et sur l’air de Belle Marquise

Des clameurs sonnent le réveil.

Un réveil qui culpabilise

Ceux qui dégradent le climat :

Qu’on le dise et qu’on le redise !

Qu’on se fasse du cinéma !

C’est la faute des pauvres hommes

Qui sèment la mort sur leurs pas.

Ils ont voulu croquer la pomme.

Mea culpa, mea culpa !

La pomme de la connaissance

Avec des tonnes de pépins

Empoisonne  leur existence

Et menace leurs lendemains.

Ils ont réchauffé l’atmosphère

Par la recherche d’un confort

Qui pollue la planète terre.

Arrête-toi, fais un effort !

C’est à chacun que l’on adresse

Ce tragique avertissement :

Pour que le climat se redresse

Tu dois payer de ton argent !

Car c’est bien toi le responsable

De tous les malheurs à venir.

Tes progrès bâtis sur du sable

Ne t’offrent aucun avenir.

Regarde ceux qui te gouvernent

Se rencontrant pour te sauver…

Ils mettent leurs drapeaux en berne

Et continuent à se gaver.

Ils n’ont que de belles paroles ;

D’autres plus puissants, mais cachés,

Accaparent les premiers rôles.

Au secours ! Les loups sont lâchés !

Les industries nous empoisonnent

Et règnent sur les continents.

Qu’en pense la couche d’ozone ?

Et qu’en pensent les bien pensants ?

Enfoncez-vous bien dans la tête

Que si votre action entreprit

De détruire notre planète

Vous devez en payer le prix.

Toute la terre se réchauffe.

Vous devez porter le chapeau

Pour éviter une surchauffe

Qui veut se payer votre peau.

Dans tout mouvement, dans chaque acte

Vous produisez du CO deux

C’est permanent et sans entracte

C’est toujours plus et jamais peu.

Il faut jouer carte sur table

Malgré vous nous interviendrons.

Les peuples sont les seuls coupables

Ils doivent payer, ils paieront !

Tout comme l’âne de la fable

Ceux qui ne sont pas des puissants

Sont considérés misérables

Et doivent payer de leur sang.

Ils subiront leurs cataclysmes

Dont les puissants fixent le prix

Dans leur empire d’égoïsme

Dans la noirceur de leur esprit.

Et nous retrouvons la banquise

Qui s’enfonce trop doucement

Pour leur offrir l’ivresse exquise

De ses trésors, de ses diamants.

Déjà ces requins revendiquent

La propriété des terrains.

Par leurs drapeaux ils les indiquent

Dans leur frénésie, leur entrain.

Vivement que les glaces fondent

Nous creuserons vers des trésors

Tandis que nos bateaux sur l’onde

Découvriront de nouveaux ports.

Et qu’importe les ours polaires

Qu’importe les peuples du nord ;

Nous allons faire des affaires

Nous remplirons nos coffres d’or.

Plus loin d’innocentes victimes

Seront noyées ou souffriront

Des eaux, du feu, avec en primes

Des maladies dont ils mourront.

Mais tous ces loups, ces carnivores,

Dans leur apparence d’humains

Très bientôt entre eux se dévorent

Se détruisent en dernier « amen »

Ainsi soit-il. Par leur démence,

Ces kamikazes du pouvoir

Ne méritent pas de clémence,

Mais qui sera là pour savoir ?

Combien de temps les conséquences

De leur folie feront trembler

Les survivants ?  Quelles semences

Feront après pousser du blé ?

Perdre le Nord pour la banquise,

Est-ce bien là notre destin ?

Quelques loups, sont prêts et se disent

Qu’importe : nous ne risquons rien !

Charly SAMSON