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19 février 2010

Mon prochain livre

Nostradamus est connu à travers des légendes et des idées reçues, comme s’il s’agissait d’un mythe quelque peu irréel.

Vouloir traduire ses écrits et les interpréter c’est un peu comme vouloir s’exprimer dans une langue que l’on ne connaît pas. C’est ce personnage que nos contemporains connaissent mal ; parce que ses propres contemporains ont tout mis en œuvre pour le déprécier. Sa personnalité autant que son œuvre dérangeait les puissants de son époque.

J’ai recherché la véritable personnalité de cet homme qui a vécu comme nous une vie de chair et de sang. Je me suis efforcé de suivre ses traces dans les régions où il a vécu. Mon intérêt pour les arts divinatoires m’a poussé à étudier sa façon de travailler, d’utiliser les phénomènes de voyance et d’exprimer des prédictions sans mettre en danger son œuvre et sa vie.

Ma recherche n’a été ni rapide, ni improvisée.
Petit à petit m’est apparu l’homme de science,
le médecin et le grand écrivain du XVIe. siècle,
LE VERITABLE NOSTRADAMUS,
l’homme qui a vu le futur.

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Vous trouverez ce livre en librairie dès la fin du mois de février 2010. Il est publié par les éditions Trajectoire.

08 février 2010

Qui vivra verra …

Les commentaires lus et entendus à propos de l’avenir de la banquise m’ont inspiré des réflexions qui ne sont pas réjouissantes. A force de nous faire peur, cette peur finit par s’installer… peut-être pas pour les raisons affichées qui tendent à nous culpabiliser… pour nous faire payer les dégâts.

Chaque début d’année fait fleurir de multiples prédictions qui se croisent, se complètent et se contredisent. Parmi celles-ci, des gens sérieux – et j’en connais beaucoup – parviennent à soulever le voile qui cache l’avenir et à annoncer des évènements pour nous préparer à mieux les vivre. Il est facile de vérifier plus tard la qualité de leurs prestations.

Mais quand des apprentis prophètes ne parviennent pas à déterminer quels seront les évènements que nous aurons à affronter, ils font appel à ceux qu’ils considèrent comme des valeurs sûres. Alors ils invoquent des textes bibliques, des calendriers antiques et notre grand Nostradamus. Il est vrai qu’on ne prête qu’aux riches… Ainsi la fin du monde a été annoncée plusieurs fois et à des dates différentes en interprétant à tort des textes qu’il fallait comprendre…