Le Blog de Charly SAMSON

Atterrissage à Saint Baudile.- Dans la soirée du 6 décembre 1973, deux jeunes garçons partent du village de Fabrègues empruntent la petite route qui à travers la garrigue mène à la chapelle de Saint Baudile. Arrivé au petit plateau qui précède cette chapelle ils ont la surprise de voir « quelque chose » posé sur le sol. Pris de panique ils reviennent au village, racontent leur observation et repartent avec deux autres copains. L’engin est toujours là avec une ouverture sur un côté et une sorte d’échelle descendant jusqu’au sol. Encore pris de panique ils redescendent à Fabrègues et le père de l’un d’eux prend sa voiture avec les gens qui se trouvent là. Arrivés près de la chapelle, ils ne voient qu’une lueur qui s’éloigne à grande vitesse dans le ciel.

Sur l’emplacement désigné, des traces de 30cm² ont été relevées, correspondant aux « pieds » sur lequel l’engin était posé. Là où une « échelle » semblait être appuyée, deux petits trous marquaient le sol un peu mou. De la terre a été prélevée à l’endroit précis de l’atterrissage et à quelques mètres de là.  Des lentilles semées dans la terre de l’atterrissage n’ont pas germé alors que d’autres ont germé dans la terre prélevée à quelques mètres. L’analyse de la terre du lieu précis de l’atterrissage a permis de constater qu’elle avait été stérilisée.

Dans la nuit du 8 novembre 1977, nous étions en soirée d’observation près de la chapelle de Saint Baudile au sommet de la colline de La Madeleine entre Montpellier et Sète. Le ciel était merveilleusement étoilé et nous avions placé côte à côte deux appareils de photos en pose. Nous n’avons rien observé d’anormal ; mais au développement des photos une surprise nous attendait. En effet, lorsque, suite au déplacement de la terre et donc de l’ensemble de la voûte céleste pendant les vingt minutes de pose, chaque étoile et chaque planète apparaît sous la forme d’un trait lumineux, nous avions sur la photo des deux appareils « un point » lumineux aussi brillant que la plus brillante des étoiles. Cette lumière était donc apparu puis avait disparu pendant le temps de pose. Un défaut de pellicule est à exclure puisque les deux appareils ont enregistré ce phénomène. L’aéroport de Montpellier Fréjorgues nous a déclaré qu’aucun avion n’était en vol dans le secteur à cette heure-là. Des membres du groupe ont effectué des calculs pour estimer les dimensions de ce point lumineux selon son altitude. Ils ont obtenu des résultats inimaginables de gigantisme à une altitude qui aurait pu être celle d’un avion.

Nous n’avons jamais eu d’explication. Il s’agit bien d’un « objet volant non identifié ».

A demain pour un nouveau témoignage.

Et la presse commentait abondamment ces phénomènes. Certains profitaient de ces informations pour rédiger trois pages en partant de trois lignes, ce qui n’offre pas de difficulté, et prenaient à leur compte le travail des autres. Après la parution du livre à succès de Jean-Claude Bourret, un journaliste de renom m’a téléphoné pour me demander des détails sur une information récente. Je lui ai proposé d’en parler au cours d’une de ses émissions mais il m’a répondu qu’il préférait que je les lui adresse par courrier ; ce qu’évidemment je n’ai pas fait. Plus tard j’ai appris qu’il avait l’intention d’écrire lui aussi un livre sur la juteuse affaire des soucoupes volantes. Que de livres, que de conférences, que de discours devant des micros par des gens qu’aucun ufologue n’avait rencontré sur le terrain ! 

Les quelques témoignages que je vais publier ici ont été réellement vécus et ne figurent pas dans les ouvrages de ces compilateurs.

Retrouvez la suite de cette note dès demain !

Il est toujours intéressant de constater combien tous les sujets sont liés à travers l’espace et à travers le temps. Quelques lignes sur la naissance de l’antique civilisation égyptienne nous ont fait basculer dans les actuelles apparitions d’O.V.N.I. et les questions que se posent nos contemporains sur leur origine, sur la technologie qui les fait exister, apparaître et disparaître et met en évidence des vitesses jamais atteintes par nos techniques.
Nous reviendrons un autre jour aux mystères de l’Égypte qui savent attendre que nous nous intéressions à eux.

Dans les années 1970 j’ai animé un groupe d’ufologie dans le cadre d’une association montpelliéraine, le Crepel. Nous étions informés de toute l’actualité. Dans nos réunions nous recevions des témoignages et d’autres fois nous allions les recueillir chez les intéressés.

Régulièrement nous organisions des soirées d’observation dans la nature en des lieux réputés pour être fréquentés par des O.V.N.I.
Je relaterai ici quelques unes de ces observations inédites. Notre but n’était pas de publier mais de chercher, alors que bien de prétendus ufologues préféraient publier sans chercher…
Retrouvez la suite de cette note dès demain et les jours suivants !