20 juin 2008
Qui cherche trouve
Lorsque des vestiges du passé, des traces de personnages énigmatiques et des affirmations de la science de notre époque confirment l’existence et la transmission de « sciences oubliées » toujours présentes dans la nature, il est intéressant de tenter de les retrouver. Cette recherche doit être entreprise dans un cheminement lucide, sans prévision du temps qu’elle exigera et avec la certitude d’obtenir des résultats satisfaisants. Au fur et à mesure de notre progression, la nature semble nous accepter, nous faire confiance et se disposer à nous révéler de ses secrets.
Que trouve-t-on dans cette recherche, si ce n’est une part de soi-même dans ses ressentis les plus profonds, une harmonie paisible bien au-delà du mental et des certitudes concrètes et vécues ?
Comment faire partager aux autres ce qui a été trouvé ? Leur proposer les récits sincères de faits authentiques peut les sensibiliser, mais ils ne leur apporteront qu’un « savoir » sans preuves concrètes et ils pourront « croire ou ne pas croire ». Ce savoir me paraît quasiment inutilisable s’il n’est pas le prélude à la « Connaissance ». Cette connaissance consiste à vivre soi-même ce que l’on sait et davantage, à ressentir au-delà de ses sens les contacts offerts par son propre cheminement et à développer des sensibilités nouvelles, réelles et concrètes… difficiles à communiquer.
J’ai « cherché » longtemps, guidé par ceux qui m’ont précédé. J’ai « trouvé » des ressentis qui m’ont petit à petit été confirmés par des faits concrets et surprenants ; et les explications « logiques » ont suivi... J’ai souhaité partager les fruits de ma recherche en ne m’arrêtant pas au « savoir ». Ainsi, depuis un peu plus de vingt ans je propose un travail en groupe dans lequel la théorie n’a de but que d’expliquer la pratique, l’expérience et le vécu.
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