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28 novembre 2007

De quoi demain sera-t-il fait ?

L’optimisme ne semble pas régner dans les chaumières où malgré les déclarations officielles le pouvoir d’achat ne cesse de se dégrader. Quel que soit le chapitre abordé, nous sommes confrontés à des évènements ou à des situations peu encourageantes.

N’étant pas porté sur le pessimisme et ayant pour principe de tenter de relativiser les difficultés « réelles » pour la plupart des gens, je préfère me tourner vers cette année 2.008 qui pointe le bout de son nez, sans me complaire dans la morosité ambiante.

Sur le plan international, comme sur le plan national, ce n’est pas le simple citoyen qui peut seul faire évoluer les situations malgré les affirmations de « démocratie » dont on l’abreuve. Démocratiquement, dans quelques semaines il va voter… pour les candidats qui lui seront présentés ; la plupart du temps patronnés plus ou moins ouvertement par de grandes, solides et puissantes organisations. Que de fois, mon petit bulletin à la main, j’ai rêvé avant de le déposer dans l’urne. Je lisais des noms, mais dans mon esprit je voyais des visages ignorés de ces organisations, des visages de gens honnêtes et compétents qui n’avaient pas leur place  sur ces listes… Se plier à la discipline d’une organisation, quelle qu’elle soit n’est pas accepté par tous les citoyens… et souvent pas par les meilleurs qui souhaitent conserver leur Liberté.

 J’ai connu ces contraintes ; pas en politique, mais dans d’autres organisations auréolées de leur réputation et de leurs nobles déclarations…

Finalement je n’ai trouvé cette liberté d’expression que dans ces blogs où l’on peut s’exprimer sans avoir de comptes à rendre. Espérons que cela durera…

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22 novembre 2007

Des fins de mois difficiles

Qui n’en a pas connu ? … et pas seulement à l’Elysée.

Sans aucun embarras, les gens apparemment bien informés nous affirment que le Président ne perçoit que 8.500 €uros de salaire mensuel. Il ne nous est pas précisé s’il est logé et nourri comme le personnel au pair ou s’il doit faire face à ces dépenses. On nous embrouille en essayant de nous expliquer les dépenses qui incombent à l’Etat et celles que doit assumer le locataire de ce palais. Evidemment s’il doit payer la taxe d’habitation avec (en traduisant en francs) seulement 55.700 francs par mois…

Pour établir la comparaison, on nous dit que son salaire est inférieur de moitié à celui d’un secrétaire d’Etat, profession à laquelle on peut accéder en passant par le ballon ovale. Rétablir au moins l’égalité, tout le monde le souhaite ; mais de préférence dans l’autre sens !

Ah ! que les fins de mois doivent être difficiles et combien nous serions de mauvaise fois en ne le comprenant pas !  Il nous est dit – mais peut-être nous dira-t-on autre chose, que le Président demande le doublement de son salaire, soit 20.000 €uros. Par rapport au double de 8.500 on a un peu arrondi, mais on n’est plus à ce détail près. Vingt mille €uros, cela fait 131.000 francs… et pour les retraités qui comptent encore en « anciens francs » cela correspond à 13 millions de ces anciens francs.

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19 novembre 2007

Travaillez plus ! Travaillez plus !

Ce qui est surprenant, c’est que le Chef de l’État n’ait pas été informé qu’il allait se trouver aux portes de la misère en quittant la mairie de Neuilly pour l’Élysée. Encore une preuve que nous manquons d’informations…

S’il avait connu cet inconvénient, il aurait pu opter pour « le cumul des mandats » : travaillez plus pour gagner plus. On en parle beaucoup de ce cumul et le matin du 30 octobre 2007, le sénateur maire de Marseille qui annonçait à la télé la demande du Président de la République, tentait de nous prouver que le cumul des mandats tel qu’il le pratique présente un avantage certain pour ses électeurs… pour lui aussi probablement. Alors, maire de Neuilly et Président de la République, voilà un moyen pour rester proche de ceux avec qui on partage les mêmes valeurs… surtout dans la modeste commune de Neuilly. L’Élysée n’est pas trop loin de cette ville. Nous avons bien eu un maire de Paris qui était en même temps député de la Corrèze.

Il y avait peut-être une autre solution. Fréquemment il est fait appel à la générosité des français pour des œuvres humanitaires que les finances publiques ne sont pas capables de financer : téléthon, le sida, la Croix-Rouge, etc… Pourquoi ne pas instaurer une quête publique pour venir en aide à celui qui a été piégé par sa réussite électorale ?

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14 novembre 2007

Hermès pourrait sauver la sécu !

Pour prendre de telles décisions, il faut certainement une compétence et une énergie hors du commun. Toute peine mérite salaire et celui qui travaille plus mérite de gagner plus ; du moins c’est ce qu’on nous répète, même si en bien des cas on constate le contraire.

Alors on vient de découvrir que notre plus grand responsable, qui est loin d’être un indolent, n’était pas payé en fonction du travail qu’il abat. La télé nous dit que c’est l’Élysée qui révèle que le Président désire être augmenté. Oh ! pas une grosse augmentation. Non, simplement doubler le salaire de misère qui lui est octroyé.

J’ai tout de suite pensé à Hermès Trismégiste qui, dans sa Table d’Emeraude déclare : « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. » Il en est ainsi dans notre univers où l’on constate que, par exemple, l’organisation des planètes qui tournent autour de leur étoile est comme l’organisation des neutrons, des protons et des électrons qui tournent autour du cœur de chaque atome.

Ce serait une aubaine pour la majorité des salariés qui rêvent de voir bientôt leur Président marchant devant eux dans la rue en arborant une pancarte revendicative : « Il faut doubler tous les salaires ; en haut comme en bas. » N’a-t-il pas déclaré un jour à des ouvriers : « Nous avons les mêmes valeurs ? »

Qui dit doublement des salaires, dit doublement des cotisations à la sécu ; car si les salaires d’en bas ne sont pas plafonnés, il en sera de même pour ceux d’en haut…

Il existe tout de même des politiques qui ont parfois de bonnes idées !

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