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22 novembre 2011

SACREE BANQUISE !


Mais vous fondez belle banquise,

Fondez comme neige au soleil ! …

Et sur l’air de Belle Marquise

Des clameurs sonnent le réveil.

Un réveil qui culpabilise

Ceux qui dégradent le climat :

Qu’on le dise et qu’on le redise !

Qu’on se fasse du cinéma !

C’est la faute des pauvres hommes

Qui sèment la mort sur leurs pas.

Ils ont voulu croquer la pomme.

Mea culpa, mea culpa !

La pomme de la connaissance

Avec des tonnes de pépins

Empoisonne leur existence

Et menace leurs lendemains.

Ils ont réchauffé l’atmosphère

Par la recherche d’un confort

Qui pollue la planète Terre.

« Arrête-toi, fais un effort ! »

C’est à chacun que l’on adresse

Ce tragique avertissement :

« Pour que le climat se redresse

Tu dois payer de ton argent !

Car c’est bien toi le responsable

De tous les malheurs à venir

Tes progrès bâtis sur du sable

Ne t’offrent aucun avenir. »

Regarde ceux qui te gouvernent

Se rencontrant pour te sauver…

Ils mettent leurs drapeaux en berne

Et continuent à se gaver.

Ils n’ont que de belles paroles.

D’autres plus puissants, mais cachés

Accaparent les premiers rôles.

Au secours ! les loups sont lâchés !

Les industries nous empoisonnent

Et règnent sur les continents.

Qu’en pense la couche d’ozone ?

Et qu’en pensent les bien pensants ?

 « Enfoncez-vous bien dans la tête

Que si votre action entreprit

De détruire notre planète

Vous devrez en payer le prix.

Toute la terre se réchauffe.

Vous devez porter le chapeau

Pour éviter une surchauffe

Qui veut se payer votre peau.

Dans tout mouvement, dans chaque acte

Vous produisez du CO deux.

C’est permanent et sans entracte,

C’est toujours plus et jamais peu.

Il faut jouer carte sur table

Malgré vous nous interviendrons.

Les peuples sont les seuls coupables,

Ils doivent payer, ils paieront ! »

Tout comme l’âne de la fable

Ceux qui ne sont pas des puissants

Sont considérés misérables

Et doivent payer de leur sang.

Ils subiront leurs cataclysmes

Dont les puissants fixent le prix

Dans leur empire d’égoïsme,

Dans la noirceur de leur esprit.

Et nous retrouvons la banquise

Qui s’enfonce trop doucement

Pour leur offrir l’ivresse exquise

De ses trésors, de ses diamants.

Déjà ces requins revendiquent

La propriété des terrains.

Par leurs drapeaux ils les indiquent,

Dans leur frénésie, leur entrain.

« Vivement que les glaces fondent !

Nous creuserons vers des trésors

Tandis que nos bateaux sur l’onde

Découvriront de nouveaux ports.

Et qu’importe les ours polaires,

Qu’importe les peuples du Nord,

Nous allons faire des affaires,

Nous remplirons nos coffres d’or. »

Plus loin d’innocentes victimes

Seront noyées ou souffriront

Des eaux, du feu, avec en prime

Des maladies ; et en mourront.

Mais tous ces loups, ces carnivores

Dans leur apparence d’humains

Très bientôt entre eux se dévorent

Se détruisent en dernier « amen ».

Ainsi soit-il, par leur démence

Ces kamikazes du pouvoir

Ne méritent pas de clémence ;

Mais qui sera là pour savoir ?

Combien de temps les conséquences

De leur folie feront trembler

Les survivants ? Quelles semences

Feront après pousser du blé ?

 

Perdre le Nord pour la banquise,

Est-ce bien là notre destin ?

Quelques loups sont prêts et se disent :

« Qu’importe, nous ne risquons rien ! »

Charly SAMSON

Actuellement les gouvernants semblent s’apitoyer sur la fonte de la banquise, mais en même temps ils se partagent les terres qu’elle recouvre encore et leurs revendications peuvent être source de conflits. Certains Etats ont déjà planté leur drapeau sur le socle sous-marin. Des routes maritimes sont déjà tracées pour passer par le pôle nord et délaisser le canal de Panama.

Ces mêmes gouvernants accusent les populations de la planète de produire trop de C02 et de causer la fonte de la banquise.

Le début de ce texte fait allusion à la chanson de Charles Trénet « La polka du roi ». Dans cette chanson il est au musée Grévin et danse avec une marquise en cire qui se met à fondre dans ses bras.

 ( la semaine prochaine : LA DEMESURE )

14 novembre 2011

Le coup de pouce

 Le voyant Edgard Cayce a décrit la disparition de l’Atlantide. Il indique que cette civilisation était parvenue à un haut niveau de technicité et qu’elle avait utilisé des forces qui ont déréglé les éléments. Il a donné des renseignements qui correspondent à certains vestiges permettant de confirmer l’existence et la disparition d’une grande île, ou d’un continent, qui aurait donné son nom à l’océan Atlantique. Des recherches sont en cours et l’hypothèse de cette réalité est de plus en plus admise.

« Le coup de pouce » correspondrait à la mise en mouvement de techniques très puissantes, efficaces mais pas suffisamment contrôlées. Leur intervention aurait eu une influence sur les éléments naturels, déclenchant leur intervention destructrice et irréversible. Si les Atlantes ont joué aux appentis sorciers, il est facile d’établir un parallèle avec les réalisations de notre civilisation qui manipule des forces dont les possibles conséquences restent inconnues.

Tous les domaines sont concernés : énergies, nanotechnologie, expériences biologiques, vitesses, astrophysique, recherche de « l’immortalité », et bien d’autres encore Les sources de possibles catastrophes nous sont connues. Mais où en sont les recherches et les expériences ainsi que les risques encourus qui restent inconnus ou cachés ? C’est « le secret » de quelques dangereux chercheurs souvent aux mains d’encore plus dangereuses puissances de pouvoir et d’argent.

 

Parmi les risques qui nous menacent on cite, en autres, la modification des climats avec un réchauffement dont certains indices révèlent la mise en place. Des désertifications s’accentuent, des espèces animales et végétales sont menacées de disparition. Qu’en sera-t-il des humains ?

Pour l’instant les humains sont perplexes. Les climatologues et les amis de la nature s’interrogent. Ils observent et recherchent des responsables ; une évolution naturelle ou l’imprudence des humains. Alors on nous culpabilise. Nous produisons trop de ceci et pas assez de cela ! On nous prodigue des conseils plus ou moins judicieux avec souvent des arrières pensées. Tout le monde est inquiet car dans l’arctique la banquise fond. C’est une évidence. Le phénomène s’accentue et les conséquences peuvent être dramatiquess à moyen terme.

Mais au-dessus de ces inquiétudes certains pouvoirs considèrent que la fonte de cette banquise est trop lente. Ils sont capables de l’accélérer pour leurs profits sans se soucier des risques qu’ils nous font prendre

 

( la semaine prochaine : SACREE BANQUISE)

11 novembre 2011

Entre deux mondes

 

    Les rumeurs de « fin du monde », qui m’ont fait me pencher sur leur rapport avec la région du Bugarach, me préoccupent dans ce qu’elles correspondent  à une inquiétude motivée. Tout ce que nous observons et toutes les informations dont nous sommes saturés, confirment que « quelque chose » est en train de basculer. Chacun le ressent ; l’humanité aborde d’autres conditions et une autre façon de vivre.

 

Nous vivons entre le monde d’hier et celui de demain.

 

Mais aujourd’hui ?…

  

  Aujourd’hui, nous sommes perdus entre deux civilisations. Nous ne comprenons plus celle que nous quittons, mais nous ne comprenons pas davantage celle que nous abordons. Cette situation inconfortable est illustrée par une expression populaire qui dit : « être assis entre deux chaises ».

 

 Tout s’est accéléré trop vite. Nous sommes passés en guère plus d’un siècle de la traction par la force et la docilité des chevaux à la vitesse supersonique des transports aériens, aux satellites et aux stations orbitales qui semblent narguer notre planète. Et demain ? Demain, c’est l’inconnu que nous essayons d’imaginer avec peut-être des bonds qui nous feront nous déplacer plus rapidement que la lumière, des progrès médico-chimiques et nano-technologiques qui feront espérer une approche de l’immortalité jusqu’à la limite du supportable. Alors ses inventions se retourneront contre une humanité toujours aussi fragile dans ses habits d’apprenti sorcier. 

 

Un visionnaire du nom d’Edgard Cayce a écrit à propos de la disparition de l’Atlantide : « l’homme donne un coup de pouce et les éléments font le reste ». Si cette civilisation a vraiment existé et si elle a disparu de cette façon, le parallèle est évident. Des progrès pas totalement maîtrisés peuvent déclencher des cataclysmes planétaires et cosmiques qui sont susceptibles de déchaîner des éléments que l’homme n’est pas capable de dominer : les climats, les tremblements de terres, les volcans, la force au cœur de l’énergie-matière, la puissance des océans et l’interdépendance avec tout ce qui constitue notre univers encore mal connu.

 

Peut-on évoquer la fin du monde ? Ce serait prétentieux. Une civilisation est probablement capable de déclencher la fin de son monde ; mais elle n’est pas « tout ce qui constitue notre monde ».

 

 Tout cela mérite réflexion et je vais y consacrer les  prochains messages de ce blog…