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03 octobre 2011

un extrait du livre : Si Bugarach m'était conté...

 

La civilisation des mayas a connu « sa fin du monde ». La nôtre connaîtra la sienne comme la connurent l’Egypte, la Grèce et l’orgueilleuse et apparemment indestructible civilisation romaine. Les fins de mondes se succèdent et les humains s’adaptent à de nouvelles mentalités, à de nouvelles technologies et à de nouvelles religions. « Tout évolue par adaptations » affirme Hermès Trismégistes dans la Table d’Emeraude. La succession des siècles, des millénaires et des ères ne cesse de le confirmer…

 

Mais pourquoi, lors du cataclysme que certains annoncent, en donnant la responsabilité de leur affirmation à des savants qui ne sont plus là pour éventuellement les contredire, pourquoi font-ils intervenir la magnifique et paisible montagne du Bugarach ?

Quels liens ont été tissés entre une civilisation disparue et un pic solidement installé dans une région qui elle aussi rassemble de multiples éléments historiques, prophétiques et poétiques ?

 

Il n’est plus possible d’interroger les Mayas,

mais le Bugarach est à notre portée.

 

Je sais que certains de nos contemporains prétendent posséder le pouvoir d’entrer en contact avec des êtres qu’ils situent en d’autres dimensions. Je ne doute pas de la sincérité de quelques uns de ces « médiums », mais je connais des méthodes qui permettent très naturellement de créer des illusions que des gens de bonne foi prennent pour la réalité.

 

Pour interroger le Bugarach il me paraît nécessaire de toujours mieux le connaître en commençant par toutes les légendes, les histoires et les évènements surprenants qui foisonnent dans son massif, dans la mémoire collective et dans toute la vaste région qu’il domine majestueusement.

C’est un voyage rempli de mystères, de fantastique et de merveilleux que nous allons entreprendre.

Nous n’y parviendrons que « si Bugarach nous est conté ».