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11 novembre 2011

Entre deux mondes

 

    Les rumeurs de « fin du monde », qui m’ont fait me pencher sur leur rapport avec la région du Bugarach, me préoccupent dans ce qu’elles correspondent  à une inquiétude motivée. Tout ce que nous observons et toutes les informations dont nous sommes saturés, confirment que « quelque chose » est en train de basculer. Chacun le ressent ; l’humanité aborde d’autres conditions et une autre façon de vivre.

 

Nous vivons entre le monde d’hier et celui de demain.

 

Mais aujourd’hui ?…

  

  Aujourd’hui, nous sommes perdus entre deux civilisations. Nous ne comprenons plus celle que nous quittons, mais nous ne comprenons pas davantage celle que nous abordons. Cette situation inconfortable est illustrée par une expression populaire qui dit : « être assis entre deux chaises ».

 

 Tout s’est accéléré trop vite. Nous sommes passés en guère plus d’un siècle de la traction par la force et la docilité des chevaux à la vitesse supersonique des transports aériens, aux satellites et aux stations orbitales qui semblent narguer notre planète. Et demain ? Demain, c’est l’inconnu que nous essayons d’imaginer avec peut-être des bonds qui nous feront nous déplacer plus rapidement que la lumière, des progrès médico-chimiques et nano-technologiques qui feront espérer une approche de l’immortalité jusqu’à la limite du supportable. Alors ses inventions se retourneront contre une humanité toujours aussi fragile dans ses habits d’apprenti sorcier. 

 

Un visionnaire du nom d’Edgard Cayce a écrit à propos de la disparition de l’Atlantide : « l’homme donne un coup de pouce et les éléments font le reste ». Si cette civilisation a vraiment existé et si elle a disparu de cette façon, le parallèle est évident. Des progrès pas totalement maîtrisés peuvent déclencher des cataclysmes planétaires et cosmiques qui sont susceptibles de déchaîner des éléments que l’homme n’est pas capable de dominer : les climats, les tremblements de terres, les volcans, la force au cœur de l’énergie-matière, la puissance des océans et l’interdépendance avec tout ce qui constitue notre univers encore mal connu.

 

Peut-on évoquer la fin du monde ? Ce serait prétentieux. Une civilisation est probablement capable de déclencher la fin de son monde ; mais elle n’est pas « tout ce qui constitue notre monde ».

 

 Tout cela mérite réflexion et je vais y consacrer les  prochains messages de ce blog…                                                                                                       

 

 

 

 

 

 

 

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